Test Rp

Après la demande de Heishiro Katsura j’ai fait se test pour déterminer si oui ou non mon fruit et accepter ou pas.


Le Bar

Je margeais tranquillement dans la rue étroite, les immeubles surplomber la vue. En temps normale la vue et atrophié par c’est grand immeubles qui dépasse les nuages collais les uns au autres. L’aire était sombres comme a son habitude, je margeais dans cette petit rue tête baissais a fixés mes pas, quand t’il se mit à pleuvoir, au bout de quelle que minute la pluie était devenue vraiment abondante, je me mis a l’abrie dans un bar, au dessus de la porte il y avait un cadrent ou il y avait l’inscription « Bars » en néon jaune.
Le « B » du mot « Bar » clignotait d’un intervalle de 12seconde, et s’arrêtait de temps en temps.

Kami poussa la porte en acier puis entra dans la salle.

Cela ne me surprenait plus. Un bar en piteuse état, avec un sol en acier rouiller sur les angles et a quelle que endroit, les murs également en acier, il n’y avait que peut de table environ 4 ou 5, il y avait une lumière suspendue au plafond, qui bouger de droite a gauche, laissant des zones d’ombres et des zones plus ou moins éclairé, quand quelle qu’un ouvrait la porte, celle-ci se balançait de nouveau. Le bar quand a lui était éclairé grâce a c’est spot fixer au plafond. A la table du fond vers la droite il y avait un personne, tête dans ces bras, elle devait probablement dormir, au bar il y avait un homme derrière le comptoir, torchon dans un verre a le nettoyé. De l’autre coté du comptoir il y avait une femme.
Elle avait les cheveux d’un bleu mauve, qui lui arrivait jusqu’au sein, elle portait des gros écouteurs bleu blanchâtre, elle avait mis du mascara bleu pale sur ces paupières, elle était d’une beauté resplendissante. D’ailleurs a bien y réfléchir quai-ce qu’une belle jeune femme comme celle-ci pouvait elle bien faire ici ? Elle portait un jolie haut a manche courte de couleur bleu également mais d’un bleu très claire en se rapprochant un maximum du blanc, un haut vraiment décontracter, ou l’on pouvait apercevoir des froufrous noirs au niveau des ces seins, elle portait une jupe très courte, a effet accordéon d’une couleur unie bleu marine et de grande chaussette également bleu marine qui lui arriver jusqu’aux genoux, accompagner de petit sandalette.

Kami jeta un coup d’œil par-dessus le hublot de la porte, voyant que la pluie ne sassera pas de sitôt. Il prit l’initiative d’aller s’asseoir au bar a coté de cette jeune femme.

Tout en m’asseyant je demanda un Wiski, après quelle que gorgé, la femme s’adressa a moi, et d’une voix douce et aimable me dit c’est mots.
« Bonjour, j’ai l’impression de vous avoir déjà vue quelle que part, mais je ne sais pas ou. »

Je lui rétorqua.
« Bonjour, désolé mais cela ne me dit rien du tout. Vraiment désolé »

Elle me dit que cela n’était pas grave, et qu’elle était désolé de s’être tromper, mais moi une question m’obstinée : Pourquoi était t’elle ici ? Cela fessai un peux tache de sa par, d’être dans un endroit pareille. Alors je lui posa la question.

« Eu… excusé moi, mais que faite vous ici ? »

Elle me répondit toujours, d’une vois douce, et en penchant la tête sur le coter pour me faire un grand sourire.
« Hi hi tout comme vous je me suis abriter de la pluie »

Je la remercis d’avoir répondu puis, je me mi à fixer mon vers de Wiski qui était en face de moi, tout en étant plonger dans mais penser.
J’avais des lors comprit que c’était faux, car j’étais rentré dans ce bar au moment même ou la pluie a commencée à tomber, et qu’elle était la avant moi donc par ce fait elle ne put rentrer pour cette raison, elle devait s’avoir que j’allais venir ici, il était probable aussi qu’elle était la pour me tuer ou quelle que chose comme sa.
Au moment même ou je pensais tout cela elle avait déjà comprit, elle aussi.

Mon glaçons de wiski avait fondu, et lors de son dernier tintement de sonorité, la femme se leva de son tabouret, le fessent ainsi tomber par terre, tout en me donnent un coup de poing, Je me leva in-extrémis tout en prennent une baguette chinois, de plats à emporter, qui trainait sur le comptoir, puis m’interposa, a l’aide de cette baguette. La baguette était maintenue a l’aide de mon pouce, de mon indexe et de mon majeur grand ouvert ou plutôt écarter, c’est phalanges perpendiculairement positionner contre la baguette qui la tordait, mais sans la casser.
L’homme placer derrière son comptoir nous cria qu’il ne voulait pas de bagarre dans son bar.

« Si vous voulez vous battre c’est dehors ! »

Après c’est mots, la femme baissa son coup de point, laissant ainsi tomber la baguette a terre, nous marchions cote a cote sereinement, mais toujours sur nos garde. Arriver a hauteur de la porte, je l’ouvris mais en laissant passer d’abord la jeune femme, comme bon vieux gentleman que je suis. Une fois dehors nous nous somme mis au milieu de la rue, qui était désert, face contre face. La pluie tombait toujours aussi fort qu’a mon entré dans ce bar, l’on était dans une rue complètement déserte, il y avait des vieux cartons flétrie par la pluie a quelle que endroit contre les mures. La rue devait bien faire environ 500~700 mètre, avec la visibilité réduite causer par la pluie je ne pouvais pas voir a chaque extrémité de la rue. Mais grâce à la sonorité des voitures, des gens l’on pouvait imaginer une forte densité d’habitant qui n’était pas très loin de cette rue. Je me retrouvais face a cette magnifique jeune femme, je pensais déjà a la façon d’on j’allais devoir m’en sortir.

Kami et cette jeune femme se fixairent un petit bout de temps dans les yeux, quand après avoir passé c’est quelle que minute, ils furent tout deux, 8 pas en arrières, puis se stoppairent.

La fuite

L’on était a environ 6~7 mètres l’un de l’autres, j’avais les mains dans mais poches, car comme je ne connais rien de mon adversaire, je ne sais pas comment elle va commencer à m’attaquer. Il pleut toujours autant, l’eau qui coule sur mon chapeau, qui a maintenant mouiller c’est beau cheveux. Je lui demanda en haussant la vois, mais d’un ton normale, car l’on était assez éloigner.

« Que me voulez vous ? Pourquoi en avoir après moi ? »

La femme me regarda, et me fit un grand un sourire en coin et répondit.

« Hi Hi je vous aime bien, et je veut juste m’amuser avec vous. »

Après c’est mots la femme se mis à courir dans ma direction, l’on pouvez entendre le bruit de c’est pas qui courait sur l’eau qui était disposé par terre.

*Elle dit quelle voulait s’amuser avec moi. Et ce que cela était vrais ? Ou c’était plutôt parce que je suis recherche par la mafia ?*

Après se temps de réflexion la femme était a ma hauteur et me donna un violant coup de poing, au visage, qui me projeta quelle que mètres plus loin en arrière.

*Quelle force impressionnante !*

Je me releva tremper, de tout manière avec la pluie qu’il tombe je l’était déjà.

La femme courut vers moi et redonna un coup de poing droit, a l’aide de ma main gauche je parut le coup en prennent son poignet laissent ainsi une ouverture sur son flanc droit pour ensuite la frapper, a l’aide de ma mains droite qui et venu rejoindre ma gauche je fit une rotation de son poignet vers l’avant, se qui la fit automatiquement s’abaisser, tête avant, j’en profita pour lui donner un coup de genoux droit, en plaine tête, tout en lâchant son poignet, se qui la fit monter en l’aire, puis déplia mon genoux droit pour lui porter un coup encore plus violant, qui la monta encore plus hauts.
La femme était maintenant inerte en pleine air, in-extremis elle se rétablie en l’air puis me lança un petit couteau quelle sortie de sous sa jupe.
Le couteau foncé littéralement sur moi. Prit par surprise, je n’eu pas le temps de l’esquiver je devait parait. Je leva mon coude droit à hauteur de mon visage, et la lame se planta dans l’avant bras. Surement jeter avec beaucoup de force pour que celle-ci ressorte de l’autre coté. La pointe du couteau était au bout de mon nez. Qui me fit tomber a terre. Juste après le coup, je me releva puis retira la lame. Pendant se lapse de temps la femme c’était déjà enfuie je la voyait qui courrait vers l’extrémité de la rue ou il y aurait surement tout la populations.
Je jeta son petit couteau a terre, puis essaya de la suivre en courent.

Je pouvait entendre mais bruit de pas qui scintiller avec le bruit de l’eau, l’or ce que je courait dans une flaque, d’ailleurs la pluie c’était adoucie. Il pleuvait de moins en moins, se qui me donnait un meilleur visibilité. Pendant que j’essayait de suivre la jeune femme, je me posa tout un tas de question.

*Elle a dit quelle voulait s’amuser alors pourquoi avoir fuit ? Si elle voulait vraiment s’amuser elle aurait pue continuer le combats, peut être quelle a dut étre forcer à quitter le combats ? Ou alors elle voulait vraiment s’amuser et après le coup que je lui et porter, elle a du avoir peur et a prit la fuite. Non mon coup n’était pas très puissant ! Puis se petit couteau, vraiment intelligent de l’avoir placé sous sa jupe, je ne mi attendais vraiment pas. En avait telle d’autre ? Je ne pense pas, ou alors encore un ou deux pas plus.*

A la fin de ma cogitation, j’avais enfin réussit à rattraper la jeune femme. Je lui cria de s’arrêter.
Je fut surpris en premier temps, car elle s’arrêta belle et bien, mais la femme était entourer de par tout les horizons d’une masse de gens qui eu vivait leur propre vie .
La femme se retourna puis commença à courir vers moi, mais fut très vite stopper par la foule. Elle se mit alors a crié puis, après quelle que minute, la foule de gens s’apaisa ne restent plus quelle, elle put alors courir vers moi.
Les gens avait comprit qu’il s’agissait d’un combats. Au fur et à mesure que le combats durait les gens se poussait d’entre nous, se qui forma un périmètre.


Après de nombreux coup nous, nous étions séparait pour prendre un peut de recul. J’étais a environ 5~6 mètre d’elle.
Quand elle me chargea frontalement, pour me redonner un coup de poing droit, je me prépara pour parait le coup quand a la dernière minute elle se baissa.

*Une feinte !*

Une fois baissait, elle se trouvait a hauteur de mon ventre, elle me donna 3~4 coup de poing pomme ouvert. Qui eu pour effet de me retourner les boyaux, ou plutôt de m’attaquer de l’intérieur. Puis en se relevant elle me donna un coup de poing au niveau du menton, qui me fit monter dans les airs. La femme dit un semi saltos puis en ayant prit appuis sur c’est mains m’éjecta a l’aide de sais pieds. Je fit un long vole planais avant de retomber au sol.

Je me relava avec mal, regarda a mon avant bras ma blessure venait a peine de se soigner. Ne laissant qu’un trous dans la manche de mon costume.



La fuite forcé

Je me releva, frotta mais vêtement au partie sale, puis remit mais mains dans mais poche et lui annonça de venir, la femme ne comprit pas tout de suite, alors je répéta.

« Viens ! Amène-toi ! »

La femme fonça sur moi, 5mètre, 4 mètre, 3 mètre, 2 mètre, elle se trouver maintenant mon périmètre d’attaque. Je leva mon genoux à hauteur de mon torse. La femme stupéfait s’arrêta. Je déplia mon genoux et mon pied se posa sur son épaule, en rabattant ma jambe je prit sa tête par sa nuque a l’aide de mon pied, puis accompagna a l’aide de celui-ci , son vissage lors de sa descende. Son visage s’explosa par terre qui la fit saigner du nez.
Je fis quelle que saut en arrière pour me remettre a distance respective au cas d’un attaque venant de sa par.
Après de longue minute, la femme se releva avec beaucoup de mal. Surement dut au choque subit par mon coup.

Je me mis en position a de combats, quand j’entendis un vois, venant de derrière moi qui criés.

« Elle et la ! »

Je me retournai pour voir, qui disait c’est mots quand je vis un homme en costume noirs a chemise blanche.

*C’était des mafiosos*

Les même mafieux qui me recherche mais bizarrement cela ne me rechercher pas. Il en avait après la femme.
L’homme fit signe a d’autre compère de le suivre tout en montrant du doit que la femme qu’ils recherchaient été la.
La femme après avoir entendu c’est mots prit la fuite, elle se dissimula dans un l’amas de gens. Je suis resté en retraie pour m’occuper de c’est hommes, de tout manière il me suffit de suivre les gouttes de sang pour la retrouver.

Deux hommes venant de front voulant la suivre vinrent à ma rencontre. L’un avec un katana en main, tendit que l’autre na rien.
Le premier homme en costume celui qui ne posséder pas d’arme passa juste à coter de moi, arriver a ma hauteur je lui mis un coup de coude dans sa nuque. Il tomba tête la premier vers le sol, puis une fois a terre y resta.
Le deuxième homme celui avec le katana qui était en arrière se stoppa pour observer la scène, et a la fin de celle-ci se jeta sur moi a l’aide de son sabres.

L’homme en costume fonça sur Kami en laissant toucher le point de son katana par terre.
Arriver à sa hauteur le mafioso leva le sabre, en diagonale de gauche a droite, kami recula sa jambes gauche d’un pas en arrière pour ainsi s’allonger en arrière de quelle que centimètre le katana lui passa a ra du visage. L’homme s’arrêta le bras tendu diagonalement en haut à droite puis rabaissa son bras toujours diamétralement, Kami recula cette fois ci sa jambe droite, pour esquiver. Kami prit le poignet de l’homme et le fit pivoter vers la droite, laissant ainsi sa garde à nue.
J’en profita pour lui donner un coup de genoux dans l’estomac. L’homme laissa tomber son katana avant de tomber par terre, que je reprit en plein vole.

La pluie continua de tomber par petit gouttelette, je me fondit dans la foule pour essayer de retrouver la trace de cette femme et pour ainsi terminer le combat. J’avais désormais un katana en ma possession, mais bon il ne me servira probablement pas comme je ne sais vraiment pas manier cette si jolie arme, je ne connaissais que les bases, dut au temps que je fessait encore partie des mafieux. Tout en continuer les recherches je me mis à penser.

*Elle voulait s’amuser, cette phrase résonner de plus en plus, dans ma tête au fur et à mesure que je la chercher. Le fait quelle avait dit sa, été peut être vrais, en tout cas de nombreux facteur le montrer.
Le faite qu’elle aussi elle soit rechercher par la mafia, quelle sait beaucoup mieux se battre que les autres .*

Je suivait les trace de sang quand arriver a un carrefour celle-ci s’arrêtais, j’émis l’hypothèse quelle aurait surement prit a droite. Comme 77% de la populations et droitière et qu’après avoir analysé c’est mouvement, j’ai pus remarquai quelle aussi l’était, et que dans une éventuelle fuite sous la prise de la panique l’on ne réfléchie pas , l’on pense en priorité à se cacher. Donc par conséquence elle aurait prit à droite.

Au bout de quelle que minute de marche, je l’avais retrouvé elle était la sur un banc entrain de reprend son souffle ou de se reposer. Je me mis à courir dans sa direction. Quand elle me reconnue elle se leva puis se mit à courir, voulant surement m’échapper.
L’on était retirait de la ville, je ne sais pas exactement ou l’on se situe mais une chose était sur. C’est que l’on était plus que tout les deux.
Après quelle minute de course poursuite j’an avais mare je décida de jetai mon katana sur elle pour essayer de la tuer.
Le katana volé en ligne droite, dans sa direction, juste avant que le sabre arriver sur elle, elle sauta en l’aire se posa sur un rempare de toiture, ainsi esquivent mon katana qui se planta dans le mure. Je couru dans sa direction puis prit appuie sur le katana, et a l’aide de celui-ci me retrouva sur la toiture en face de cette jeune femme, pour en finir une bonne foie pour tout.

Combat Finale

L’on était chacun a une extrémité de la toiture, la pluie c’était complètement arrêter. La pleine lune brillée d’un tel éclat qua elle seule suffisait pour nous éclairez.
Mais blessures venais à peine de se régénérais, quand a elle. Je supposer que sa n’aller pas fort pour elle vue a quelle point elle a eu du mal à se relever lors de ma dernière attaque. Sa aller être un combats rapide.
La femme se tenait a quelle que mètres devant moi, la lune qui la surplomber la rendait encore plus belle et resplendissante que auparavant. Une brise de vent passa sur le futur terrain de combats et une fois celle-ci fini je lança l’offensive.

A chaque pas que je fessait l’on pouvait entendre les tuiles qui bouger, arriver a sa hauteur je lui donna un coup de poing au niveau du ventre, elle sauta pour l’esquiver, puis a l’aide de sais pied prit impulsion sur mon avant bras droit qui était encore tendue, et elle fit un salto en arrière puis se rétablit dans les aires et une nouvelle fois ressortie un petit couteau de sous sa jupe et me le lança. Le petit couteau arrivait a grande vitesse sur moi mais cette fois si j’y était un temps soi peut préparait au cas où. Et il me suffisait pour moi de faire un pas sur le coter. Et le petit couteau se planta dans la toiture.
La femme était maintenant dans les aires. Je ne sais pas si elle avait remarqué ou si cela était fait exprès, mais elle ne se trouver plus en dessus de la toiture et aller donc par se fait jutait. Je sortie mon révolver, et dans le mouvement d’extraction du révolvers décocha une balles qui partait en direction de la femme. La balle se logea dans son épaule droit la déstabilisent. Elle en perdit son rétablissement. Une fois le coup partie je rangea mon révolver, puis me mit dos à la femme sur le petit couteau. J’étais maintenant bras perpendiculaire au corps et parallèle au sol, bien tendu. Je prit une grande impulsion puis partie en arrière et en un très long s’alto arrière je me retrouver quasiment au dessus de la femme qui était en trin de tomber. Et d’un coup sec et puissant je lui donna un coup de pied ou plutôt de talon, au niveau de sa tête. La femme tomba en rouler bouler, plus rapidement vers le sols.
La femme était maintenant a terre tendit que moi j’était encore dans les aires, au dessus d’elle. J’étais bras toujours tendit, comme une croix latin. Je commençais à tomber sur elle.
Je me mis à parler et a dire c’est mots.

« Voila le coup de grâce. Le pilier de la mort ! »

Mais pied s’enfonçairent dans sa cage thoracique. Après quelle que minute je m’enleva de son torse puis me mis à penser

*Voulais-elle vraiment jouer avec moi ? Une chose et sur c’est que c’était un beau combats. *

A la fin de ma réflexions je me sentie obliger de la soigner. Je posa mais main paume ouvert sur son torse puis une lueur jaunâtre sortait de mais mains, après de longue minute, je me releva puis reparti en direction de la ville pour essayer de trouver un coin ou je pourrait dormir.

*Mais blessures était plus grave que je ne l’imaginer, cela me fait tellement mal que j’ai du mal à marcher *

Kami repartie en direction de la ville, tout en boitant et en laissant la jeune femme à terre. Il s’avait très bien que le lendemain la femme se sentirait mieux, et pourrait ainsi au moins marcher jusqu’a un endroit ou elle pourrait prendre du repos bien mériter.

de meme